LISTERINE® JOUE UN RÔLE IMPORTANT
- Solvant:
- aide à solubiliser les ingrédients, y compris les 3 huiles essentielles, qui sont les ingrédients actifs de la formule
- aide à prévenir la croissance microbienne et à maintenir la stabilité du produit
Boissons alcoolisées
Pour ingestion1
La consommation excessive d’alcool est un important facteur de risque de cancer1
Peut contenir des impuretés telles que des nitrosamines, de l'uréthane et d'autres contaminants1
Rince-bouche à base d’alcool
À expectorer (ne doit pas être avalé)1
Étant donné que le rince-bouche est expectoré, l'exposition totale à l'alcool lorsqu’il est employé correctement est insignifiante par rapport à l'exposition liée à une consommation excessive de boissons alcoolisées1
Contient de l'éthanol de qualité pharmaceutique hautement purifié, fabriqué selon les bonnes pratiques de fabrication1
L'antiseptique LISTERINE® est le rince-bouche en vente libre ayant fait l'objet du plus grand nombre d'études cliniques au monde, plus de 30 essais cliniques à long terme ayant examiné son innocuité et son efficacité1-10. De nombreuses études menées au cours des 40 dernières années n'ont révélé aucun effet négatif lié à l'utilisation des rince-bouche à base d'alcool5-10.
Des études cliniques, méta-analyses, analyses quantitatives et examens systématiques des données ont démontré qu'il n'y a pas de lien de causalité entre l'utilisation du rince-bouche antiseptique LISTERINE® et le cancer de la bouche ou la xérostomie2-10.
Résultats des études cliniques
Résultats des études cliniques
« S'ils sont utilisés conformément au mode d'emploi, les rince-bouche à base d'alcool présentent peu de risque d'exposition générale à l'alcool lui-même ou aux produits de son métabolisme [acétaldéhyde] chez l'humain10.»
Boyle et al. Oral Dis. 2014;20(suppl 1):1-68
Références : 1. Données internes, Johnson & Johnson Consumer Inc. 2. Fischman SL, Aguirre A, Charles CH. Use of essential oil—containing mouthrinses by xerostomic individuals: determination of potential for oral mucosal irritation. Am J Dent.2004;17(1):23-26
. 3. Kerr AR, Katz RW, Ship JA. A comparison of the effects of 2 commercially available nonprescription mouthrinses on salivary flow rates and xerostomia. Quintessence Int. 2007;38(8):e440-e447. 4. Kerr AR, Corby PM, Kalliontzi K, McGuire JA, Charles CA. Comparison of two mouthrinses in relation to salivary flow and perceived dryness. Oral Surg Oral Med Oral Pathol Oral Radiol. 2015;119(1):59-64
. 5. Aceves Argemí R, González Navarro B, Ochoa García-Seisdedos P, Estrugo Devesa A, López-López J. Mouthwash with alcohol and oral carcinogenesis: systematic review and meta-analysis. J Evid Based Dent Pract. 2020;20(2):101407. 6. Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Monographies du CIRC sur l’identification des dangers cancérogènes pour l’homme : Rapport du groupe consultatif pour la recommandation des priorités des Monographies du CIRC pour les années 2015-2019
. https://monographs.iarc.fr/wp-content/uploads/2018/08/14-002.pdf. Consulté le 1er novembre 2021. 7. Food and Drug Administration. Oral health care drug products for over-the-counter human use; antigingivitis/antiplaque drug products; establishment of a monograph; proposed rules. Part Ill. Fed Regist. 2003;68(103):32232-32287
. 8. Cole P, Rodu B, Mathisen A. Alcohol-containing mouthwash and oropharyngeal cancer: a review of the epidemiology. J Am Dent Assoc. 2003;134(8):1079-1087
. 9. La Vecchia C. Mouthwash and oral cancer risk: an update. Oral Oncol. 2009;45(3):198-200
. 10. Boyle P, Gandini S, Boffetta P, Negri E, La Vecchia C. Mouthwash use and oral cancer risk: quantitative meta-analysis of epidemiologic studies. Oral Surg Oral Med Oral Pathol Oral Radiol Endod.2011;112(6):e130. 11. Vaca CE, Nilsson JA, Fang JL, Grafström RC. Formation of DNA adducts in human buccal epithelial cells exposed to acetaldehyde and methylglyoxal in vitro. Chem Biol Interact. 1998;108:197–208.
Renseignez-vous sur cette combinaison fixe exclusive qui différencie l’antiseptique LISTERINE®.