Pourquoi vos patients devraient-ils ajouter un rince-bouche antiseptique à base d’huiles essentielles à leur routine quotidienne de soins buccodentaires?
Même avec la sensibilisation actuelle aux bonnes habitudes d’hygiène buccodentaire, y compris les techniques appropriées de brossage des dents et d’utilisation de la soie dentaire, la maladie des gencives est bien plus courante qu’on le pense. En fait, au Canada seulement, 88 % des adultes de
20 ans et plus présentent des signes d’inflammation des gencives et 32 % sont atteints de gingivite1. Il est important de comprendre les facteurs qui peuvent compromettre la routine quotidienne de soins de vos patients afin de pouvoir leur prodiguer des conseils pour améliorer leur santé buccodentaire.
Bonne nouvelle : la plupart des patients sont prêts à en faire plus pour leur santé buccodentaire. Les résultats d’une enquête mondiale menée auprès de plus de 4000 personnes ont révélé que5* :
Il est évident que les patients sont prêts à améliorer leur santé buccodentaire, mais ils doivent mieux comprendre l’état de santé de leur bouche et le risque de gingivite. Ils requièrent donc des conseils personnalisés pour leur routine d’hygiène dentaire.
Pourquoi faut-il recommander l’utilisation d’un rince-bouche?
Bien que les méthodes mécaniques comme la brosse à dents et la soie dentaire soient essentielles à une bonne hygiène dentaire, elles ne sont peut-être pas suffisantes à elles seules pour maîtriser la plaque6,7. Les bactéries se trouvent dans des zones que la brosse à dents, et même la soie dentaire, ne peuvent pas atteindre. Quelques minutes après la fin du brossage des dents, les bactéries apparaissent, et leur nombre double toutes les 1 à 2 heures au début. Puis, en l’espace de quelques jours, elles forment une colonie tridimensionnelle complexe pouvant renfermer des centaines d’espèces distinctes8†. La salive non stimulée contient de 5 x 107 à 1 x 108 bactéries par millilitre et baigne continuellement les surfaces de la bouche de micro-organismes en suspension, permettant ainsi aux bactéries de recoloniser la surface des dents peu après une prophylaxie9. En 30 secondes seulement, l’action antibactérienne d’un rince-bouche aux huiles essentielles réduit la plaque laissée par les méthodes mécaniques en pénétrant profondément dans les couches inférieures du biofilm pour en détruire la structure aux endroits difficiles à atteindre avec la brosse à dents ou la soie dentaire10,11,12.
L’ADC reconnaît les bienfaits de l’emploi du rince-bouche15,16.
En plus de ses recommandations concernant le brossage des dents et l’utilisation de la soie dentaire, l’Association dentaire canadienne a également évalué les bienfaits cliniques liés à l’emploi d’un rince-bouche antiseptique à base d’huiles essentielles. L’ADC reconnaît ce bienfait pour la santé buccodentaire : L’ajout du rince-bouche antiseptique LISTERINE® à la routine d’hygiène buccodentaire réduit et prévient la gingivite mieux que le brossage des dents ou l’utilisation de la soie dentaire seuls.
Le rince-bouche — 3e étape essentielle pour une meilleure santé buccodentaire.
Avec toutes ces données probantes, il est clair que l’utilisation d’un rince-bouche antiseptique est plus qu’une suggestion, c’est une troisième étape essentielle, après le brossage des dents et l’utilisation de la soie dentaire, de la routine quotidienne d’hygiène buccodentaire des patients. C’est une étape que vous devriez recommander à vos patients pour les aider à avoir une bouche en meilleure santé.
Mettez vos connaissances à l’épreuve
1. Quelle est la prévalence de la gingivite au Canada?
a.) Plus de 10 % de la population adulte
b.) Plus de 30 % de la population adulte
c.) Plus de 50 % de la population adulte
d.) Plus de 85 % de la population adulte
2. Quels sont les bienfaits de l’ajout d’un rince-bouche antiseptique aux méthodes mécaniques d’élimination de la plaque?
a.) Aide à prévenir et à réduire la plaque
b.) Aide à prévenir et à réduire la gingivite
c.) Nettoie pratiquement 100 % de la bouche
d.) Toutes ces réponses
3. Quel pourcentage de clients sont prêts à utiliser un rince-bouche pour améliorer leur santé buccodentaire?
a.) 90 %
b.) 50 %
c.) 25 %
d.) 10 %
Réponses: 1. b; 2. d; 3. a
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA RÉDUCTION DE LA PLAQUE ET DE LA GINGIVITE
Examinez les données d’une étude sur l’antiseptique LISTERINE® et la réduction de la plaque et de la gingivite.
L’ADC RECONNAÎT LES BIENFAITS DE L’EMPLOI DU RINCE-BOUCHE*
L’ADC confirme que l’ajout du rince-bouche antiseptique LISTERINE® à la routine d’hygiène buccodentaire réduit et prévient la gingivite mieux que le brossage des dents ou l’utilisation de la soie dentaire seuls.
*Selon les données autodéclarées d’un sondage mené auprès de patients aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Thaïlande, au Brésil et au Japon (N = 4134).
†25 espèces à un endroit spécifique du biofilm, mais plusieurs centaines d’espèces dans la bouche d’un même sujet.
1. Santé Canada, Enquête canadienne sur les mesures de la santé, 2007-2009. 2. Bakdash B. Current patterns of oral hygiene product use and practice. Periodontal 2000. 1995;8:11-14. 3. Cancro LP, Fischman SL. The expected effect on oral hygiene of dental plaque control through mechanical removal. Periodontology 2000. 1995;8:60-74. 4. Bader HI. Floss or die: implications for dental professionals. Dent Today. 1998;17:76-82. 5. Selon les données autodéclarées d’un sondage mené auprès de patients aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Thaïlande, au Brésil et au Japon (N = 4134), données internes, Johnson & Johnson Inc. 2015. 6. Gunsolley JC. A meta-analysis of six-month studies of antiplaque and antigingivitis agents. JADA. 2006;137:1649-1657. 7. Gunsolley JC. Clinical efficacy of antimicrobial mouthrinses. J Dent. 2010;38(I):S6-S10. 8. Marsh PD. Martin MV, Lewis MOA, Williams D. Dental Plaque. Oral Microbiology E-Book, 5th Edition. Churchill Livingstone. 2009. 80-89. 9. Liljemark WF, Bloomquist CG, Reilly BE, Lemoine JL. Growth dynamics in a natural biofilm and its impact on oral disease management. Adv Dent Res. 1997;11(1):14-23. 10. Foster JS, Pan PC, Kolenbrander PE. Effects of antimicrobial agents on oral biofilms in a saliva-conditioned flowcell. Biofilms. 2001;1:512. 11. Minah GE, DePaola LG, Overholser CD, et al. Effects of 6 months use of an antiseptic mouthrinse on supragingival dental plaque microflora. J Clin Periodontol. 1989;16:347-352. 12. Walker C, Clark W, Wheeler T, Lamm R. Evaluation of microbial shifts in supragingival plaque following long-term use of an oral antiseptic mouthrinse. J Dent Res. 1989;68:412. 13. Données internes, Johnson & Johnson Consumer Inc. 14. Kerr WJS, Kelly J, Geddes DAM. The areas of various surfaces in the human mouth from nine years to adulthood. J Dent Res. 1991; 70:1528-1530. 15. https://www.cda-adc.ca/fr/oral_health/seal/about/ 16. http://www.cdha.ca/pdfs/Profession/Resources/TherapeuticOralRinsingPartI.pdf
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